Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tête.
Les idées noires, rien ne les arrête.
Ma vie se déguise en cauchemar, si ça dure, c'est pas par
hasard.
Elle m'a seulement laissé son autographe
En dessous des mots "fin de paragraphe"
Un vieux transistor près du lit chante pour moi, seul dans
la nuit.
Radio Pékin parle de demain, Radio Pékin parle, je
comprends rien.
Radio Pékin parle de demain, Radio Pékin parle, je pense
à rien.
Mon réveil agonise depuis minuit, je l'ai cassé quand elle
est partie.
Peut-être qu'un jour elle reviendra, si je la guette seul
sous les draps.
Radio Pékin parle de demain, Radio Pékin parle, je
comprends rien.
Radio Pékin parle de demain, Radio Pékin parle, je pense
à rien.
Le sens de l'histoire me donne pas d'espoir.
Le sens de l'histoire me jette au placard.
Quand elle est partie, ma tête était prête.
Maintenant toute cette histoire me paraît bien bête.
Y'a plus qu'une chose qui me soutient, Radio Pékin.
Je comprends rien, je pense à rien.
Je comprends rien je me sens bien.
Je comprends rien, je pense à rien, je pense à rien, je
pense à rien.
Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tête.
Les idées noires m'attaquent, rien ne les arrête.
Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tête.
Les idées noires m'attaquent, rien ne les arrête.
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