Un ciel bleu, des arbres morts, comme la nature j'suis désarmé
Face au poids que prennent les années, j'veux en profiter désormais
Un ciel bleu, des arbres morts, comme la nature j'suis désarmé
Face au poids que prennent les années, j'veux en profiter désormais
Dans la mélancolie on trouve un plaisir néfaste
Où l'on s'y plaît volontiers à venir livrer ses frasques
Dans la mélancolie on trouve un plaisir néfaste
Où l'on s'y plaît volontiers à venir livrer ses frasques
Dans cet environnement néfaste que plus aucune larme n'efface
J'en ai vécu des phases et vu passé des fils de pute et zut j'deviens vulgaire
Vaillant à la guerre comme à la vie
Mariant un éclaire, dans la nuit
Cherchant, la mer dans un puit
J'ai perdu le sens des priorités
Galvanisé, je vois la paix se rarifier
Mais mon monde se pacifier
Alors que des innocents scarifiés payent le malheur de ceux dont ils ne faut pas se fier
Ne soit pas si fier de faire du feux, l'homme n'est pas simple à satisfaire
Encore moins à sortir de sa sphère et j'ai même pas exprimé nos vœux
Un ciel bleu, des arbres morts, comme la nature j'suis désarmé
Face au poids que prennent les années, j'veux en profiter désormais
Un ciel bleu, des arbres morts, comme la nature j'suis désarmé
Face au poids que prennent les années, j'veux en profiter désormais
Dans la mélancolie on trouve un plaisir néfaste
Où l'on s'y plaît volontiers à venir livrer ses frasques
Dans la mélancolie on trouve un plaisir néfaste
Où l'on s'y plaît volontiers à venir livrer ses frasques
J'vois le seum dans le sexe, la tristesse d'une cigarette
Parles-en à d'autres je t'en pris, continue, moi je m'arrête
La sentence a un prix donc tout se falsifie
Elle a eu du mal à se fier mais c'est moi l'con en train souffrir
Partages-moi ta peine j'en ferai un bel étendard
Pour signaler qu'il est trop tard, j'enterre l'amour à la pelle
Pleure des larmes de grêles, feins des air de frêle
Le froid caresse ma douce peau comme une crème
Dans la pauvreté j'ai vu des mères céder pendant que leur fils paye une Mercedes
Et puis m'arrête ça y est, j'vois le merle saillant
Le présage est néfaste et rien ne l'efface
J'vois la vérité en face
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