La traduction de fantasmas de Humbe est disponible en bas de page juste après les paroles originales
Del gran sueño no me quiero despertar
Y me falla un poco más mi realidad
Aún los llevo pasando por la yugular
Y el recuerdo se convierte temporal
En esta casa no existen fantasmas, son puros recuerdos
De tiempos ajenos, de buenos momentos
En el cielo volaban los buitres que auguran deceso
El fin de los tiempos, nos hacemos eternos
Tantas fotos llenando los marcos, mi propio museo
No hay muchos trofeos, con ustedes tengo
Y aunque te lleve en la sangre, me duele sentirte tan lejos
Destellas el cielo y ahora te celebro
Lo sigo intentando, tan cerca el impacto
Hay que ser bien fuertes pa' ver a la muerte derecho y honrado
Cansa'o de pensarlo, oh, no puedo evitarlo
Quiero estar juntitos, tomarme contigo un último trago
Oh-oh, oh-oh-oh (Un último trago)
Ya viví lo que pude vivir
Perdón que me tenga que ir
En la noche conquisto el silencio
Y la ausencia del ruido genera un vacío
Perdón que me tenga que ir
Perdón que me tenga que ir
Oh, oh, oh, oh-oh-oh-oh
En esta casa no existen fantasmas, son puros recuerdos
Son mil sentimientos
De lo que vivimos cuando tú estabas aquí
Traduction fantasmas - Humbe
Je ne veux pas me réveiller de ce grand rêve
Et ma réalité me fait défaut un peu plus
Je les porte encore, passant par ma jugulaire
Et le souvenir devient temporaire
Dans cette maison, il n'y a pas de fantômes, seulement des souvenirs
D'époques révolues, de bons moments
Dans le ciel volaient les vautours qui présagent la mort
La fin des temps, nous devenons éternels
Tant de photos remplissent les cadres, mon propre musée
Il n'y a pas beaucoup de trophées, je les ai avec vous
Et même si je te porte dans mon sang, ça me fait mal de te sentir si loin
Tu illumines le ciel et maintenant je te célèbre
Je continue d'essayer, l'impact est si proche
Il faut être très fort pour regarder la mort en face et avec honneur
Fatigué d'y penser, oh, je ne peux pas l'éviter
Je veux être ensemble, prendre avec toi un dernier verre
Oh-oh, oh-oh-oh (Un dernier verre)
J'ai vécu ce que je pouvais vivre
Désolé de devoir partir
La nuit, je conquiers le silence
Et l'absence de bruit crée un vide
Désolé de devoir partir
Désolé de devoir partir
Oh, oh, oh, oh-oh-oh-oh
Dans cette maison, il n'y a pas de fantômes, seulement des souvenirs
Ce sont mille sentiments
De ce que nous avons vécu quand tu étais ici
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