Il frappe à la porte et ce tient droit, de l’autre coté un homme s’approche de la poignée à grands pas.
L’huissier lui tend un papier et avec sa bouche commence à le sermonner.
L’homme en face semble abattu, encore un sale coup que lui amène cet inconnu.
De son regard sombre il lui fait signe d’entrer, il serre les dents pour ne pas l’insulter.
Ce matin encore à la télé il entendais de crise qui risquait de tout faire péter.
Pour lui ça fait bien longtemps que cette crise a commencé.
La tentation de la société de consommation lui a fait perdre la tete et toute son attention.
Des cartes de fidélité il a commencé à abuser.
Il a signé des crédits aussi rapidement que l’on ce jette dans un puit.
L’huissier rentre dans le couloir, son sentiment est de ne pas quitter le lieu sans son argent.
Qu’importe l’homme en face, de toutes façons il ce doit d’etre éfficace.
L’homme lui implore de ne pas l’expulser, en lui expliquant que babylone l’a piégé.
Que son plasma il le paye depuis des mois, que sa hi-fi, il en paie encore aujourd’hui le prix.
L’huissier lui répond qu’il n’est pas travailleur social, qu’il ne pourra donc combler sa dalle.
Il est là pour faire son métier, celui de récolter le fruit des cartes de fidélité.
L’homme s’éffondre en pleurs, il sait qu’il peux avoir peur, de son salaire de 900 euros, il doit déja 700 à ceux qui lui ont vendus des consommation en faisant les bons.
L’huissier le regarde sans bouger, pour lui il n’a pas de peine de toute façons trop tard pour que cela puisse changer.
L’homme se relève et lève son poing, c’est tout son désespoir qui part dans ce coup de poing.
L’huissier s’étale de tout son long, il s’en va en maugréant quelques mots, à coups sur il reviendra pour le mettre K.O.
Quelques jours plus tard, l’huissier revient accompagné des forces de l’ordre pour lui tenir la main, dans sa tete son homme et son destin.
La suite tu la connais déscente aux enfers pour l’homme de verre, il est brisé complètement cassé, car de la société de consommation, des pièges il n’a pas su faire attention.
Ce mettre bien est un plaisir sain, il faut juste faire gaffe, certains étant pret à te tenir la main
pour t’enterrer dans ton jardin.
Ils te font croire que tout est permis, que tu sois crésus ou juste chauffeur de bus.
Ils te font croire qu’il font cela pour te faciliter, mais n’empeche que c’est toi qui mettra des années pour te relever.
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