Ils cavalaient loin d’ici entrelacés dans l’espace Perdus partout lorsque sur la terre Les parallèles lascives ils les remettaient à leur place Comme la ville respirait à l’envers Des pluies électroniques, en transit, bousculaient l’histoire Noire et blanche, camouflée comme hier Menottes et brouillard, on traversait sans rien y voir L’heure avançait et se lisait sur les lèvres Venu le soir, la brume fait prisonnier, lâche Qui survole les toits Eux surfent la nuit orage Condamnés à mourir au combat L’ambulance est maligne, elle rôde autour de moi Empruntant les traits de ton visage « Qu’attends-tu pour me suivre et te sortir de là ? Saurais-tu déjà mentir à ton âge ? » Venu le soir, la brume fait prisonnier, lâche Qui survole les toits Eux surfent la nuit orage Condamnés à mourir au combat
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