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["The coast of the Southlands stretches countless miles, with jagged rocks like a Dragon's teeth, hopeless marshlands and many pirate coves of sea-borne bandits. But such was not the sight that the Islander saw when he finally laid his weary eyes upon dry land. The fabled beaches just a day's ride south of Westmar with their soft dunes seemed so much like those he had left at home, or even of the Ivory Shores which his uncle had once seen in his youth. Utterly exhausted when he touched upon firm ground and still mourning his lost friends, he could still barely contain himself. For he was well aware what mighty a sight and many-spired radiancy that lay to the north; the jewel of the west, the pride of men - the Royal City of Westmar"]
I raise up my head and gaze upon silvery seashores
With the sand on my feet and with the sun on my back
For days the coast leads my journey
Shining in the misty dew I see
There, a thousand spires
Glowing like fire in the sun
I see them rising o'er these open plains
And I know I shall remember forever
How I saw a thousand towers white
When young I was told
Of a city of might and of honour
An empire's crown, as powerful as it was feared
And now as I stand before her
I set my eyes upon a waking dream
There, a thousand spires
Gleaming like ice in the sun
I see them rising o'er these open plains
And I know I shall remember forever
How I saw a thousand towers white
Mirrorlike gates stretch before me
Blazing serene in the dawn
Split open for vast lines of many men
I gaze beyond in dewilderment
Shattered hearts and dreams
Crushed by grievous tyranny
Crumbling homes and screams
Among corrupted industry
A sinister reign
Brother is turned against brother
Irrational fear enslaved the dwarves and the elves
What lies beyond such opression ?
Shining towers cast a shade on me
There, a thousand spires
Glowing like fire in the sun
I see them rising o'er these open plains
And I know I shall remember forever
How I saw a thousand towers white
Traduction A Thousand Towers White - Dragonland
« Les côtes des terres du Sud s’étendent à des miles innombrables, avec des roches déchirées telles des dents d’un dragon. Des marais désespérants et des criques appartenant à de nombreux pirates et bandits des mers. Mais ce ne fut pas la vision que l’insulaire a vu lorsqu’il a posé ses yeux fatigués sur cette terre aride. Les terres légendaires se trouvaient juste à une journée de chevauchée au Sud de Westmar avec leurs douces dunes qui ressemblait tellement à celles qu’il avait quittées de chez lui, et même à celles des Rivages d’Ivoire que son oncle avait vus dans sa jeunesse. Complètement épuisé lorsqu’il a touché la terre ferme et toujours endeuillé par la perte de ses amis, il pouvait à peine se contenir lui-même. Car il était bien conscient d’une puissante vision que le rayonnement de nombreux clochers se trouvait au Nord ; Le joyau de l’Ouest, la fierté des hommes – La Cité Royale de Westmar. »
Je lève ma tête et pose le regard sur les rivages argentés,
Avec le sable sur les pieds et le soleil à mon dos,
Je longe la côte depuis des jours,
Qui brille dans la rosée brumeuse que je vois,
Ici, un millier d’aiguilles,
Rayonnent tel le feu dans le soleil,
Je les vois s’élever sur les plaines ouvertes,
Et je sais que je me souviendrais toujours,
Comment j’ai vu un millier de tours blanches,
Quand j’étais jeune on m’a parlé,
D’une cité de puissance et d’honneur,
La couronne d’un empire, tellement puissante qu’elle en était effrayante,
Et à présent je me tiens devant elle,
Je pose le regard sur un vieux rêve,
Ici, un millier d’aiguilles,
Etincelant telle la glace dans le soleil,
Je les vois s’élever sur les plaines ouvertes,
Et je sais que je me souviendrais toujours,
Comment j’ai vu un millier de tours blanches,
Les portes spéculaires se déploient devant moi,
Serein flamboiement dans l’aube,
S’ouvrent pour les vastes lignes d’hommes,
J’observe avec perplexité,
Cœurs et rêves brisés,
Écrasés par une grave tyrannie,
Cris et maisons en ruine,
Parmi une industrie corrompue,
Un règne sinistre,
Frère se tourne contre frère,
Une peur irrationnelle a assouvi les elfes et les nains,
Qu’est-ce qui se trouve au-delà d’une telle oppression ?
Les tours brillantes jettent une ombre sur moi,
Ici, un millier d’aiguilles,
Rayonnent tel le feu dans le soleil,
Je les vois s’élever sur les plaines ouvertes,
Et je sais que je me souviendrais toujours,
Comment j’ai vu un millier de tours blanches
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