C’est vatos trois, j’ai remis le gamos trois, enfoiré faut pas qu’on se croise
Je suis pas comme toi, jamais fait la nostra, jamais fait la reusta
Tu me racontes quoi, la street fait bander les petits puceaux
Le feu est gravé sur l’écusson, quand il y a un touriste j’ai des pulsions
Plus de son, gare le Q7 dans une rue sombre
Il y a le vice, il y a les gars, dans le biz illégale
Coupe le bénéfice en parts égales, il y a de la tise et c’est moi qui régale
Un seul but c’est de mettre ma mif à l’abris après car c’est tout ce qu’on m’a appris
Je prends la fuite, pas vu pas pris, en vrai dans le couloir comme Serge Gnabry
Vision nocturne de la french riviera, il y a des guitares mais pas Kenji Girac
Les factures dans le courrier indésirable, ouais la rue, ouais la vrai et cetera
Ouais la rue, ouais la vrai et cetera
Quartier sale sud Santa Monica, au fond de la tess je suis dans la caisse avec Lolita
Putain de vida je vais pas mourir dans l’anonymat
Le bruit du pompe, l’odeur du plomb, la gasolina
Toujours numéro dix sur le rain-té, il seul espoir dans l’outil ils sont en train de me monter
Où que j’aille le sheytan m’applaudis, le ciel m’a maudis
Et j’enlève tous mes sentiments quand j’enlève son body
C’est l’heure du ftour à table, je reviendrai pour rakkha
Le compteur Morata, il me faut une gadji comme Durata
Une Porsche, une tonne de moulaga, purple et Givenchi
Elle veut Gucci, Prada, elle s’est mis fraiche pour une petite khapta
Il y a pas d’amis dans le showbiz, un avertis en vaut dix
Je suis dans l’épice, elle a les yeux rouge sa mère comme Canis Majoris
Je suis dans le cash, devant l’OPJ je suis et toi
Il me reste du sang sur les doigts, c’est moi capuché sur les toits
Sois pas désolé, fais tes bails, je fais les miens
Je voulais soulever des montagnes, avec rien
Aucune peine est insurmontable, on voit loin
Quartier sale sud Santa Monica, au fond de la tess je suis dans la caisse avec Lolita
Putain de vida je vais pas mourir dans l’anonymat
Le bruit du pompe, l’odeur du plomb, la gasolina
Toujours numéro dix sur le rain-té, il seul espoir dans l’outil ils sont en train de me monter
Où que j’aille le sheytan m’applaudis, le ciel m’a maudis
Et j’enlève tous mes sentiments quand j’enlève son body
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