[Pénélope Martin]
À l'heure où le soleil embrase la ville
Le fou sur la colline contemple la fresque
Mais l'éclat ne l'atteint plus
La ville prend feu
Brouillard, chaos
On dit que le cœur bat plus fort devant l'océan
Le fou sur la colline ferme les yeux
[Dajak]
À l'heure où le ciel embrase la ville
Quelques oiseaux dansent par la vitre
Une demi clope, un tél' cassé
Des rimes qu'j'arrête pas d'effacer
Plus trop d'réseaux, j'suis loin des autres
C'est comme si j'entendais qu'les échos
Du haut d'ma tour, j'observe le monde
Il tourne un peu plus chaque seconde
Ces derniers temps, j'ai peu sommeil
Faut qu'j'trouve un moyen d'faire d'l'oseille
Cherche l'infini dans mes poèmes mais y a qu'tes sanglots qui reviennent
Ici, les jours se ressemblent et y a plus grand-chose que j'ressens
Mais pourquoi cette malédiction ?
Personne m'a dit qu'ce serait si long
J'ai d'jà fait l'tour des environs
Bientôt, les oiseaux partiront
J'sais pas trop où vers les sémaphores
J'regarderai sûrement encore
Mais loin d'moi-même, loin des miens
Loin d'ce tieks que j'connais si bien
Au fond d'mon cœur, ça fait des mois
Qu'j'me dis qu'demain, c'est le grand départ
[Pénélope Martin]
Les larmes du soleil
[ Dajak]
À l'heure où l'ciel embrase la ville
Les oiseaux n'dansent plus par la vitre
Le mégot fume dans l'cendrier
Des rêves qui finiront par s'effacer
Mais loin là-bas, à l'horizon
Quelque chose m'attend forcément
Là où les larmes forment l'océan
Là où l'soleil pleure doucement
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