*bruit de réveil*
Aaah putain
Hey-hey ! (x10)
J'me réveille après ma ville, tout est déjà très actif
J'suis dans un état pensif, j'sais même-plus tu m'as dis quoi
J'trouve que le monde est rapide, qu'il est rempli de machines
J'aime pas les gens insensibles, ni les-gens sans foi ni loi
Des fois j'm'énerve sans raison, puis juste après j'me rappelle
Que rien arrive sans raison, et j'me rends compte du problèmе
Aujourd'hui un génocide, ça passe quasi inaperçu
Commе du sang sur une bouche d'incendie, comme un papy à l'arrêt d'bus
Y'a toujours la mort qui menace-nace, quand je prends la route je m'attache-tache
Le soir même je kiffe ma race-race, car je bois tout c'qui m'arrache-rache
J'aurais jamais c'que j'mérite caaar j'suis trop feignant comme Doums
Il était mignon mon périple gaaars moi j'viens de la cambrousse
Tu connais mon quotidien, c'est presque le même que le tiens (hun hun)
A base de barrettes et de joints, graille baguette de pain (hun hun)
J'ai de la foudre dans les mains, Zeus lui-même en est témoin (hun hun)
Ils ont de la poudre dans l'tarin, de la poudre de perlim-(pinpin)
Vas-y parle de mes défauts, fréro je le vis bien (Hiiinhiiin)
Si la fumée c'est de l'eau, gros je suis amphibien (Hiiinhiiin)
J'suis dans mon vaisseau aérien (Hiiinhiiin)
Le métro c'est pour les terriens (Dyeah !)
J'mâche mes mots, mâche mes mots, mâche mes mots, mâche mes mots damn
Ils cassent mes mo-, cassent mes mo-, cassent mes mo-, cassent mes molaires
Si t'as trop de kilos, face de minots, pas de diplômes, tu sais c'qu'il faut faire
Ils parlent dans ton dos, à demi-mot, fait ce qu'il faut, ferme tes oreilles
Les gens bavent de trop, s'passent le mot, pas seulement, pour dire des choses belles
Râlent de trop, jactent de trop, parlent de trop, parlent de trop près
Faites les taire, je veux de l'air, je veux la paix, jamais je l'aurais
Puisqu'on arrête pas le progrès, essayez d'dire des choses vraies
Essayez d'dire des choses vraies, pour vous ce s'rait une aubaine
Vos mentalités mauvaises, ont l'odeur de vos de vos derch
Beaucoup trop de mollesse ou, un moteur de Corvette
Tu sais pas c'que tu renfermes fou, comme un déni de grossesse
Au menu toujours du pollen mais si peu d'amour beaucoup d'eau fraiche
Dans ton p'tit appart' tu te promènes et t'appelles ça la vie de bohème (Nan)
Est-c'qu'y'a vraiment que la colère ou tu ressens d'autres sentiments
Mon fréro j'te l'dis trop gentiment, faudrait maintenant qu'on vise le progrès (Ouais)
Tous les crapauds dans la maare veulent te faire passer pour téta-tar-tard
C'est tes actes qui paarlent, il faut pas que tu te rétra-tra-tracte
Nouveau départ j'me prépaare, j'veux faire date et non pas faire ta-ta-taches
J'ai les faireza dans le saac, j'le r'pose on en r'parle plus ta-ta-tard
J'mâche mes mots, mâche mes mots, mâche mes mots, mâche mes mots damn
Ils cassent mes mo-, cassent mes mo-, cassent mes mo-, cassent mes molaires
Si t'as trop de kilos, face de minots, pas de diplômes, tu sais c'qu'il faut faire
Ils parlent dans ton dos, à demi-mot, fait ce qu'il faut, ferme tes oreilles
Les gens bavent de trop, s'passent le mot, pas seulement, pour dire des choses belles
Râlent de trop, jactent de trop, parlent de trop, parlent de trop près
Faites les taire, je veux de l'air, je veux la paix, jamais je l'aurais
Puisqu'on arrête pas le progrès, essayez d'dire des choses vraies
L'jour d'après c'est la réplique, toujours la même thématique
J'sais même plus c'qui m'arrive et, j'me rendors après ma ville
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)