A la terrasse des cafés
Comme toujours de noir sapée
Je fais ma blonde un peu perdue
Et je toise les inconnus
Je reluque les petites pépettes
Et leur short noyé dans l’arête
Faudrait me payer vraiment cher
Pour exposer là mon derrière… mon derrière
C’est le moment où j’en peux plus
Le moment où j’ fais plus rien
C’est la fin du début
C’est le début de la fin
Je glande et c’est bien de glander
Y’a toujours un truc à penser
Je philosophe derrière ma bière
Sur la vie, ses mauvaises manières
Y’a plus moyen de m’arrêter
Je procrastine, je prends le temps
Y’a trop de cons à mépriser
Pour prendre la route maintenant…maintenant
C’est le moment où j’en peux plus
Le moment où j’ fais plus rien
C’est la fin du début
C’est le début de la fin
Il paraît que le monde bouge
Moi je ne vois que des fantômes
Des petits pantins, des vieilles courges
Qui s’en balancent des atomes
Y’a trop d’ sourires, ça m’fout le blues
Toutes ces banderoles : Je suis heureux !
Moi je lis l’avenir dans la mousse
Tu souris trop pour être heureux...pour être mieux
C’est le moment où j’en peux plus
Le moment où j’ fais plus rien
C’est la fin du début
C’est le début de la fin
C’est le moment où j’en peux plus
Le moment où j’ fais plus rien
C’est la fin du début
C’est le début de la
Si c’est le début de la
Si c’est le début de la fin
C’est une chanson qui n’ sert à rien
Mais ça sert à quoi de servir
Demain matin je verrai bien
Si je remets ça en plus pire
En plus pire, pire, pire, peer to peer
Pire, pire, pire, peer to peer
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