"Champion l'amour"
Quand elle me prend dans ses bras
que je la prends dans mes bras
que l'on se prend dans les bras
nous deux z'en-tre qua-tre bras
é-mo-tion é-mo-tion
O ten-dresse et pas-sion
dans no-tre feuil-le-ton
c'est l'a-mour c'est l'a-mour le champ-ion
Oui, champion l'amour quand le ma-çon ma-çonne
no-tre mai-son d'a-mour
qu'on vou-drait la Ga-ronne
quand on n'a quel'A-dour
qu'elle me prend dans les bras
que je la prends dans les bras
que l'on se prend dans les draps
quand sonma-ri quand sonma-ri n'est pas là
et si on sort dans la nuit noire
que le temps est au brouil-lard
meme en al-lu-mant les phares
il ne pour-ra pas nous voir
oh je vou-drais tant te pro-té-ger
des dan-gers que cet hom-me laid
te fait cou-rir mon a-do-rée
je ne pour-rai lui par-don-ner
nous dans la belle au-to-mo-bile
nous jou-ons un vau-de-ville
dan-ge-reux et dif-fi-cile
à deux pas des camp-a-niles
en double file c'est de la merde cette ville
jamais de place pour se garer
jamais de place pour s'aimer
et si on sort dans la nuit noire
que le temps est au brouil-lard
meme en al-lu-mant les phares
il ne pour-ra pas nous voir
et nous n'au-rons plus jamais froid
dan-ge-reux et dif-fi-cile,
à deux pas des camp-a-niles, du campanile
"Champion l'amour"
Quand elle me prend dans ses bras, que je la prends dans mes bras,
que l'on se prend dans les bras, nous deux z'entre quatre bras, émotion,
émotion, O tendresse et passion, dans notre feuilleton, c'est l'amour,
c'est l'amour le champion, oui, champion l'amour. Quand le maçon maçonne,
notre maison d'amour, qu'on voudrait la Garonne, quand on a que l'adour,
qu'elle me prend dans les bras, que je la prends dans les bras, que l'on se prend
dans les draps, quand son mari, quand son mari n'est pas là. Et, si on sort dans
la nuit noire, que le temps est brouillard, même en allumant les phares, il ne
pourra pas nous voir, nous, dans la belle automobile, nous jouons un vaudeville,
dangereux et difficile, à deux pas du campanile. Je sais cette femme est mariée,
et elle sait qu'elle est mariée, et je sais qu'elle est mariée, avec celui que je hais,
mais si elle s'est mariée, il y a quelques années, moi j'ai tout oublié, tout ça
c'est, tout ça c'est du passé, avant c'est toujours du passé. Oh !, je voudrais tant
te protéger, des dangers que cet homme laid, te fait courir mon adorée, je ne
pourrai lui pardonner, nous, dans la belle automobile, nous jouons un
vaudeville, dangereux et difficile, à deux pas du campanile, en double file.
C'est de la merde cette ville, jamais de place pour se garer, jamais de place pour
s'aimer. Et, si on sort dans la nuit noire, que le temps est au brouillard, même
en allumant les phares, il ne pourra pas nous voir, nous dans la belle automobile,
nous jouons un vaudeville, dangereux et difficile, à deux pas du campanile.
Oh !, si l'on pouvait s'envoler, et dans le ciel prendre le thé, sur un nuage de lait,
amoureux à tout jamais, oui, loin des juges et loin des lois, je me nourrirai de
toi, tu t'abreuveras de moi, et nous n'aurons plus jamais froid, plus jamais froid,
plus jamais froid, plus jamais froid...
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