Comme la plume au vent, souvent femme varie
Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage
Un bien mal acquis ne profite jamais
Pourtant le patron il a des beaux gilets
Un bon tiens vaut toujours mieux que deux tu l’auras
Tiens, voilà un coup de pied, j’espère qu’il te plaira
Les femmes et les brebis faut les rentrer avant la nuit
Ne m’appelle pas olive avant de m’avoir cueillie
Dis-moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es
Mais cet enfant, ma belle-mère, mon mari et mon chien
Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger
Patron c’est pas poli de parler la bouche pleine
Vox populi vox dei
Tel père tel fils Albert Abar fils prodigue
L’homme est un apprenti la douleur est son maître
Quoi ?
L’homme est un apprenti la douleur est son maître
Le pouvoir au musée tout le plaisir au peuple
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