Tu connais desfois des bas, des faux départs faute de patience
Et ton cœur reflète l’amertume dans le creux de ses mains sales
Le désir émerge et meurt décrit à travers l’œil d’un passant
Deux amoures qui dégénèrent et déchaînèrent les feux des passions
Le destin lui a mit les menottes
Il avait besoin que tu l’emmènes autre part
Il hésitait parfois mais enfin il n’ose pas
Dire qu’il est avec toi et qu’il en aime une autre
C’est juste la fin du monde
Juste la fin du monde
Juste la fin du monde
Juste la fin du monde
Tu lui disais c’est toi
Mais, elle rétorquait c’est toi
Finalement c’est moi, moi ou toi ?
Tu lui disais c’est moi
Elle te répondait c’est moi
Décidément c’est toi, toi et moi
Et si la lame qui t’a brisée a pris son nom
C’est peut-être que tu te rends malade de ces temps grisonnants
A les contempler seul
T’attendais que le temps résolve le grand désordre
Mais désormais c’est toi qui resserres tes chaînes en acceptant qu’on t’emprisonne
Tu penses à elle tout en baisant pendant des heures :
Vile habilité des hommes qui assombrie l’âme
De sa lumière incandescente
Ta pendaison prendra des semaines, moi des années
La souffrance peut atteindre des sommets si tant est qu’elle dépend des autres
Donc si ta peine est grandissante
Prend tes affaires, essuie tes larmes
As-tu déjà oublié que cette putain de vie
Est faite de transitions ?
Tes envies envies sombres s’évanouirons
Suffit d’une autre, peut-être d’une note;
De ce nouvel idéal qui t’écarterais plus vite du nôtre
T’es naïf en ne sachant pas que l’amour a ses règles
Même plein de dénégation, petit garçon garde ses rêves
Les griffes ont lacérées ce que ton corps lui paraissait être
Si t’es lassé de la serrer contre ton corps, là c’est réel
Pour t’en remettre si t’as besoin de plusieurs jours: prend des années
Une décennie pour des semaines
S’il faut que tu te laisses aller : laisse toi aller
Garde en tête que mourir ne saurait tarder
Qu’il faut des rêves à chacun, qu’aucun couple ne reste chaste
Et tu récites de piètres plaintes et penses au poto qui te charriait
Presque gêné de ce que génère
Ton amour a son égard
Juste la fin du monde
Ça veut dire: arrête de chialer
Trêve de chagrin, envers ces filles pleines de charmes qui ne restent jamais
(Ça s’arrangera c’est)
Juste la fin du monde
(Eh reprend toi c’est)
Juste la fin du monde
(Ouais ça ira c’est)
Juste la fin du monde
(Après tout c’est)
Juste la fin du monde
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