Je suis suspendu à tes lèvres de papier
En relief sur ce canevas d’idéaux brisés
Combien de fois en apnée, ton regard croisé
Je me dis, ce jeu, mérite un baiser
Sans reproche ni peur,
Je suis aux portes du bonheur
Sans relâche ni torpeur,
Je me distrais de cette langueur....
(1)
Des regards se posent en écoutant ta voix
Je jubile fébrile en suivant tes pas
Esquisses de rêves doux et sans émoi
Libère cette pudeur qui ne te ressemble pas
Je me suis amusé à compter les jours
Sans nul égard ni détour
Pourquoi faire durer cette souffrance ?
Toujours cet espoir d’étreinte , (et) d’abondance...
mmmh mmmmhh
Je me soumets à tes envies
Sans pour autant te dire oui
Tu me regardes avec mépris
Je te réponds : quelle folie !
Des regards se posent en écoutant ta voix
Je jubile fébrile en suivant tes pas
Esquisses de rêves doux et sans émoi
Libère cette pudeur qui ne te ressemble pas
Joce : Je prends un allez simple pour la luxure
Tant attendue dans le creux de ta morsure
Joce : Qu’en est-il alors de cette délivrance
Oh subtile et exquise dépendance,
dépendance, dépendance
Des regards se posent en écoutant ta voix
Je jubile fébrile en suivant tes pas
Esquisses de rêves doux et sans émoi
Libère cette pudeur qui ne te ressemble pas .... mmh mmh mmmh
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