Été
Beeby
paroles Beeby Été

Beeby - Été Lyrics

J'fais l'nécessaire pour ma ville, l'nécessaire pour ma vie
$aigneur, tu connais
Triple Dollo, Cinq

Apparemment j'suis trop noir pour paraître sincère
Dans la street minimum avec cinq frères
Maman avait dit qu'je s'rais médecin
À la rigueur si seulement j'étais un mec simple
Au final l'essentiel bah c'est qu'elle s'sente fière
Et si je réussis pas c'est pas le destin, ouais
À un moment faut arrêter d'golri
J'sais faire un paquet de choses sur un tas d'conneries
J'sais faire les passes sur rrain-té quand il faut blinder mon intestin grêle
Je peint des phases, des mots oui
Avec ma simple voix, j'te fais un dessin
Calumet d'paix j'laisse pas un P5
Tu veux nous allumer mais nous on t'éteint
Pour ça y'a pas qu'des mots oui
Inhale THC j'en soigne mes maux oui
Trop d'pilons t'en perds même aux rimes
Mais quand volaille grille, souviens toi et fais un festin

$aigneur
J'fais nécessaire pour ma ville, l'nécessaire pour ma vie
(Aubervilliers, Mala 800)
C'qu'on vit on dit pas mais mais c'qu'on dit on le vit (bouffon)

Le cran, c'est tout-par
Possibilités d'ouvertures comme le pont-levis
On veut pas pedigree dans la chientée
On veut juste bien dresser cette grosse chienne de vie
J'réussi, j'suis dans le Sud j'pourrais chanter
Pour l'instant comme immigré j'suis en chantier
Quoi ? Me connaître t'es enchanté
Mais si tu parles pas Dollo t'as étrange devise
J'ai bebar mais j'met bacon dans mes tranches de mies
Tu vois j'te dis, t'respectes pas mes convictions c'est normal que j'vais t'feinter
J'suis pas ta pute de mère, j'vais pas t'enfanter grand débile
(Ouais) J'pense à rien à part lui
Déclarer ma flamme mais avant j'le pile
Envoie ton phone-tèl ouais avant qu'j'te pinne
Pétasse tu peux t'plaindre mais avant j'me vide (Ah)
Sans UberEATS j'aurais l'ventre vide
Beaucoup d'entre vous ne cook pas
Bande de grandes te-pu, on ken juste et je rentre vite (c'est comme ça)
Sont bonnes qu'à t'éssoufler
J'crache dans la soupe mais, remplissent aussi les couplets
Elles ont du toupet ces putes
Si j'étais un animal, j'niquerais des mères pour m'accoupler
'Spèce de grande tche-bi, pas de grandes études juste une planche de fibre
D'puis l'enfance, s'course papiers
Sentiments, faut expatrier
Car faut prendre des thunes avant d's'rendre libre

$aigneur
J'fais nécessaire pour ma ville, l'nécessaire pour ma vie
(Aubervilliers, Mala 800)
C'qu'on vit on dit pas mais mais c'qu'on dit on le vit (bouffon)


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