Si vis pacem para bellum
Je l'ai compris un peu trop tard sans doute
La tête pleine de rêves, sweet comme un loukoum
J'ai vite cassé mes ongles sur la route
Qu'il est loin le temps où l'insouciance caressait mes joues
Où mon idéalisme était à l'épreuve de tout
Aujourd'hui j'ai vu l'ombre dans les yeux les plus doux
Et c'est comme si je sombre mais au fond je m'en fous
J'ai posé l'encre et je libère mon ancre
Ah
J'ai posé l'encre et je libère mon ancre
Ah
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épi épi épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épiphénomène
Épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épi épi épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épiphénomène
On s'attache mais au fond à quoi ça tient
Les nornes retissent sans cesse la toile du destin
A chaque chute on apprend, on se reconcentre
Pour finalement retomber un peu plus loin
Je reste optimiste
Car du chaos naissent les étoiles
Nos plus belles idées viennent souvent des douleurs les plus bestiales
Quelle loi étrange,
Mais peut-être qu'elle les change
En une nouvelle matrice, moins désagréable
Je prends des bouts d'espoir
Des petites lumières dans le noir
Et j'avance,
J'avance même quand c'est dar
J'ai posé l'encre et je libère mon ancre
Ah
J'ai posé l'encre et je libère mon ancre
Ah
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épi épi épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épiphénomène
Épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épi épi épi
Non ça n'est pas un épi un épi un épiphénomène
Épiphénomène
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