J’savoure les plaintes au soleil
Paris me klaxonne
Paris me questionne sur l’avènement d’un roi du silence
Qu’elle trouve le sommeil ou qu’on me couronne
Ça s’ra pareil
Ma sentence à la une
Au silence de la lune, l’homme est léger ; le cœur est immense
Il chausse du 47…
Bref…
Jette-moi la première pierre
J’caillasse la Terre entière
J’vais tout jeter à la mer
J’vais nourrir les océans.
Viens, c’est calme au fond du verre.
Quand on n’a plus rien à faire
Quand on a goûté l’enfer, on n’a plus peur du néant.
Un whisky sans glace !
Mon espèce est menacée pour des pièces entassées.
Triste est la race, juste bonne à terrasser
N’en a jamais assez.
On en fait trop mais le rétro s’est cassé
On n’apprend rien du passé
J’dresse un podium à la folie de l’homme
Sers-moi un rhum que j’oublie de trépasser.
Rien à vous dire, j’me sens d’humeur à froisser
J’veux pas sourire j’ai les canines encrassées
Pas peur de mourir… J’me tiens droit, les doigts croisés
Mais où aller ? Où aller ?
Du meilleur et du pire, devant moi j’en ai brassé
Rien à vous dire !
Allez oh, allez au diable !
Le temps m’assomme, c’est qu’la mort veut m’embrasser
Donc sers-moi un rhum, que j’oublie de trépasser.
Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop ivre
La fin du livre a brûlé
Et si la vie est rance : retour en enfance,
C’est le dégel !
Un cœur de glace, il a des parents d’sel
Il chausse du 47…
Bref…
Moi, souffrir c’est de l’art
Un sourire sous mes larmes
J’mets le train d’la mort en rails,
Mais sorti du souterrain…
Jette un soupir au départ.
C’est tant mieux si ça répare
C’est tant pis, si c’est trop tard pour n’avoir eu mal de rien…
Un whisky sans glace !
Mon espèce est menacée pour des pièces entassées.
Triste est la race, juste bonne à terrasser
N’en a jamais assez.
On en fait trop mais le rétro s’est cassé
On n’apprend rien du passé
J’dresse un podium à la folie de l’homme
Sers-moi un rhum que j’oublie de trépasser.
Rien à vous dire, j’me sens d’humeur à froisser
J’veux pas sourire j’ai les canines encrassées
Pas peur de mourir… J’me tiens droit, les doigts croisés
Mais où aller ? Où aller ?
Du meilleur et du pire, devant moi j’en ai brassé
Rien à vous dire !
Allez oh, allez au diable !
Le temps m’assomme, c’est qu’la mort veut m’embrasser
Donc sers-moi un rhum, que j’oublie de trépasser.
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