La même chose… car, en moins d’une seconde,
Voici que ce jardin est devenu le monde…
La même chose… car voici que chaque instant
N’est plus qu’un battement de tout mon coeur battant.
Il n’y a plus de jour, plus d’heure bleue ou grise ;
Il n’y a, tout le temps, sur mon coeur qui se brise,
Que des instants frappés du matin jusqu’au soir :
Instants presque de joie… presque de désespoir…
Instant presque mortel… instant presque suprême…
Ah ! je te remercie et je t’en veux !