Tes yeux bleus, à travers leurs paupières mi-closes,
Recèlent la lueur des vagues trahisons.
Le souffle violent et fourbe de ces roses
M’enivre comme un vin où dorment les poisons
Vers l’heure où follement dansent les lucioles,
L’heure où brille à nos yeux le désir du moment,
Tu me redis en vains les flatteuses paroles
Je te hais et je t’aime abominablement.