» Ce tapis que nous tissons comme
» Le ver dans son linceul
» Dont on ne voit que l’envers seul
» C’est le destin de l’homme.
» Mais peut-être qu’à d’autres yeux,
» L’autre côté déploie
» Le rêve, et les fleurs, et la joie
» D’un dessin merveilleux. »
Tel Fô, que l’or noir des tisanes
Enivre, ou bien ses vers,
Chante, et s’en va tout de travers
Entre deux courtisanes