Temps des péniches
les transformés à moitié se traînent
jusqu’à l’un des mondes
le déposé, réenclos,
parle sous les fronts de la rive :
de la mort quitte, de dieu
quitte.
Rapatrié dans l’oubli
le parler-hôte de nos
yeux lents
rapatrié syllabe par syllabe, partagé
par les dés aveugles de jour, vers quoi
s’agrippe la main du joueur, grande,
dans le réveil
Et le trop de mes discours :
déposé sur le petit
cristal dans le fardeau de ton silence