Le vent d’autrefois
Jules Delavigne

Poème Le vent d’autrefois

Il est minuit et demi
Le vinyle tourne
Toujours
Ce vent d’autrefois

Café, et encore du café
Ses yeux diamants
Inconscients
Ne se cachent jamais

L’encre des idées
A peine séchée
Et tout est repris
Tout est réécrit à nouveau

Le rythme de la basse
Coule à travers son corps
Comme du chocolat fondant
Dans la bouche veloutée
De celle qu’il aime