Aujourd'hui mercredi vingt-trois juin mil neuf cent cinquante
Ayant franchi la route de la solitude
Vers la vibrante et fabuleuse cité
Où mon coeur fut poignardé
J'éprouve que je revivrai
Nous attrapons partout des averses
Comme si la joie nous attendait
Noyée de larmes
Et je n'ai pas d'autre espoir dans cette ville
Où mon coeur a battu
Que de retrouver des hommes et de vivre
dans l'effort