Gloire à celui qui sous le feu de l’existence
Donna sens à la vie et à ses plaisirs sains
Loin de la brume froide, témoin de ses carences
De ses pseudo-pouvoirs, un seul n’en fût le sien
Par delà les frontières et leurs sols en souffrance
Où d’autr’âmes s’entachent d’innombrables venins
De cette fourmilière règne son espérance
Si l’ombre d’un soleil le pique un beau matin
De ces matins fertiles, la vie donna la chance
À ce cher inconnu, ignorant son destin
Gloire à la poésie et gloire à l’innocence
De ce cri, l’âme errante en trouva le chemin…