En pauvre Cœur de terrien je marchais jusqu'à ça maison
Mais la champagne ni peux rien, aucun parfum d'oraison
Et c'est la morte saison qui nourris tant de fatigue
Et qui garde dans son giron, la sève manquante à l' échine
En pauvre chasseur alpin, je grimpais jusqu'à son abris
Mais je l'ai dans son écrin le cœur tourne au ralentis
Et ce blizzard féroce qui emporte dans sa gigue
Le magnifique carrosse jeter au fond de l'abime
En pauvre cœur de marin je nageais jusqu'à son rocher
Me flétrit la peau des mains je ne pouvais caresser
Et c'est la grande marée par la lune qui endigue
L' indispensable coulé d'amour, sur le champ de ruine
Et c'est la grande marée par la lune qui endigue
L' indispensable coulé d'amour, sur le champ de ruine
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