Paaliaq
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paroles TRZ Paaliaq

TRZ - Paaliaq Lyrics

Roshi pointé vers le soleil, je mets vos orifices en orbite
Le monde est grand, depuis ma naissance je le décortique
Pétard couleur carbone avec gilet pare-balle, tenue assortie
J’ai passé mon enfance à faire du le-sa dans des caves morbides

Si je rentre dans le rap game je leur fais une orgie
Pétasse en porte-jarretelle ne mets pas de shorty
Je ne tends pas mon cul comme Jamel, Gad, Omar Sy
Des millions d’euros qui dorment dans le dossier de l’ordi
Le bon rapport qui, je suis pas un sportif
C’est mieux l’automatique, j’espère que tu cours vite
J’ai le cœur enfouraillé donc je sonne au portique
Plus les années passent, plus je me fais discret
Je me désolidarise, je suis peu démonstratif
Quelques putains malveillantes voudraient me distraire
Mais je suis protégé, c’est ça qui fait la diff
Je suis venu enculer le monde avec sympathie
Et je le ferai encore jusqu’à ce que je meure de fatigue
Fils de montagnard comme Rifi et Kabil
Le berber est fier, moi je suis pas de ceux qui tapinent

On a grandi dans des sous-sols, on a fait des sous sales fonce-dé dans des hôtels
Chien de la casse n’a pas sa came, ils ont toujours été considéré comme des poubelles
Patience et honneur sont dans ma boussole, l’intégration se trouve dans la chatte à Faudel
Je suis le gamin qui marchait solo dans la cour, regard de meurtrier est-ce que tu t’en rappelles

Apprentie michto veut sa paire de Loubou
Pour son sac Mickael Kors elle t’appelle mon doudou
T’as laissé ta daronne en hess mais la roue tourne
T’as bouffé tes lle-cou sale enfoiré de Zoulou
Confiance en personne l’être humain est chelou
Je me fais plein de films dans ma tête c’est Holywood
Stratégie de guerre c’est le thème pour cette année
Vont se péter le front sur des murs comme des lyhood

??? là je suis bien ré-bou, je sors de nulle part, reste la concu qui boude
Je rappe sur des freestyles quand je suis à dix pourcents
Je les vois applaudir pourtant je les ai risou
Si t’es une sombre pute tu connais la suite
Si t’as le cœur blanc je t’aime t’es mon bijou
Je deviens un psychopathe, très antipathique
Quand je vois ces suceuses venir faire des bisous
Donc je les prends sans peine, en vrette-le, en ciseaux
Je vide ma rancœur en remplissant leur che-bou
Je suis hors catégorie, va le dire à mes rivaux
Je suis seul dans l’arène et je me tiens toujours debout

Demain c’est tout de suite et tout à l’heure
Confonds pas haut-parleur et beau parleur
Protège ton cœur et protège ton corps
Il y a bien eux, mais il y a surtout pire ailleurs
Le meilleur moyen de savoir ce que l’on veut
C’est essentiellement de savoir qui nous sommes
Ce qui nous tue pas nous rends bien plus fort
C’est juste la vérité qui nous assomme
Ne pense pas à recevoir quand tu donnes
Leur ingratitude leur fera perdre la raison
Comme Ted the breaker sur le Palladium
C’est le monde à l’envers dans ce tourbillon
Si je fais du bien je suis un enculé
Si je fais du mal je serai adulé par les Hommes
Je pourrais vous mentir, vous manipuler
Mais l’opacité de mon âme est mon seul trésor
Éternel solitaire habitué
Je suis leur propre miroir donc j’aime le désordre
Prends un télescope si tu veux me situer
Je suis pali car en vérité je suis déjà mort

Ma fierté me pousse à faire des choses atroces, j’attendrai tous de les mettre au pied du mur
Je veux juste qu’ils voient enfin leur vrai visage, moi c’est pas par amour que je m’accroche
Mon dégout pour l’humain est viscéral, d’une profondeur abyssale je sais qu’il approche
Dieu et ses miracles n’auront pas suffi à faire disparaitre l’égo de ceux qui ont tort
La faute vient de celui qui créé le conflit, qui le nourrit, pas de celui qui l’amorce
Mon cœur n’est qu’un cimetière ambulant, dialogue de sourds pour aveugle quand j’écris en morse
Un coup on prie, depuis la cours de récréation
Je fais un oi-de à la vie et je demande à la Terre de me faire une fellation
Tellement dans le tur-fu j’appuie sur replay tout près des constellations
Très obscur, c’est le nom de ma fédération
À la vie, à la mort, je ne connais pas le sens des séparations
Tu noircies mon âme, je t’arrache le cœur pour les réparations
Des centaines de crânes entassé dans un sac comme signe de célébration
Mes sentiments jouent au pendu comme un IA célèbre en lévitation
À nos enfants de la patrie, leur jour de leur fin est arrivé
Cette nuit je vais encore plonger dans l’oubli, prenez mon silence en guise de charité
Ouais je me mettrai à chialer comme un gosse en repensant à ce qu’est devenu l’humanité
Et à mon réveil je me mentirai à moi-même, comme le jour d’avant l’a déjà été


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