Il suffira d'un signe, un matin
Un matin tout tranquille et serein
Quelque chose d'infime, c'est certain
C'est écrit dans nos livres, en latin
Déchirées nos guenilles de vauriens
Les fers à nos chevilles loin bien loin
Tu ris mais sois tranquille un matin
J'aurai tout ce qui brille dans mes mains
Regarde ma vie tu la vois face à face
Dis moi ton avis que veux-tu que j'y fasse
Nous n'avons plus que ça au bout de notre impasse
Le moment viendra tout changera de place
Il suffira d'un signe, un matin.
Un matin tout tranquille et serein.
Quelque chose d'infime, c'est certain.
C'est écrit dans nos livres, en latin.
Et tu verras que les filles, oh oui tu verras bien.
Auront les yeux qui brillent ce matin.
Plus de faim, de fatigue, des festins.
De miel et de vanille et de vin.
Déchirées nos guenilles, de vauriens.
Les fers à nos chevilles, loin bien loin.
Tu ris, mais sois tranquille, un matin.
J'aurai tout ce qui brille, dans mes mains.
L'acier qui nous mutile, du satin.
Nos blessures inutiles, au lointain.
Nous ferons de nos grilles, des chemins.
Nous changerons nos villes, en jardins.
Il suffira d'un signe, un matin.
Un matin tout tranquille et serein.
Quelque chose d'infime, c'est certain.
C'est écrit dans nos livres, en latin.
Déchirées nos guenilles, de vauriens.
Les fers à nos chevilles, loin bien loin.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par
Jean Jacques Goldman
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