J'suis presque fils unique
J'ai qu'un grand frère j'l'aime comme moi-même
J'crois au destin, j'accepte à coeur ouvert c'que l'temps m'amène
L'amour de c'monde, faux sentiment c'est qu'une prise d'otage
T'en as bouffé, à coté de c'qui t'attend, du grignotage
Les yeux bandés tu fais rarement l'poids quand t'es devant l'attente
Parfois l'obstacle y'a qu'ça qui t'stoppe quand tu dévales la pente
Au fond du trou, Dépravé que dieu m'en préserve
Me fatigue pas stp j'ai déja épuisé mes réserves
Tu m'aimes pour mon bagou j'sais qu'le rap c'est la picouze
Il est temps que j'coupe l'annulaire sur lequel j'ai sa bagouze
Sur la tête de ma feuille de route
J'vois autant d'calomnies que d'lo-ki sur l'port de Beyrouth
Mais j'suis tenté, un par un d'me les faire non j'me suis planté
Si j'trahissais mes textes aucun vrai gars n'pourrait m'supporter
ALors gobe ta gélule, Jamais la mort ne simule
T'y laisseras ton souffle de force ou d'gré la vie n'était qu'une cellule
Il t'faut plus qu'un anti dépresseur pour t'en remettre
La fièvre, on dit qu'jai les flammes du mal sur mon thermomètre
Inspire le respect on retire pas d'couilles à la tirette
Tu joues, tu gagnes, tu perds, t'assumes gros c'est du direct
L'ingratitude, la jalousie chérie c'est ça les hommes
La nuit des temps, l'impression d'déja vu l'histoire résonne
C'est pas pour t'prendre la tête mais la sauver quand ça radote
On attends l'jour des comptes en sueur chacun paiera sa note
On brûle nos vies, les effrite, les fume, etc...
Mes efforts de renouer des liens j'en ai rempli des téras
Y'a pas d'saisons pour les sales traîtres de Janvier en Janvier
Qu'ils s'bouffent eux-mêmess'ils ont rien d'mieux à faire que m'envier
Ils sont en galère j'sais mon frère c'est bien c'qu'il m'a semblé
Sors ta colle les morceaux des coeurs brisés sont rassemblés
Crève la dalle égoïste on s'préoccupe de c'que l'autre veut
Ils veulent ma peau qu'ils la prennent, mettent mon corps dans de l'eau d'feu
Tire qu'on n'en parle plus d'ma vie tu consumes l'espérance
Mais si j'esquive les balles c'est pas d'la chance c'est l'expérience
Chez nous on parle pour dire du vrai on cause pas pour meubler
Fais pas comme eux p'tit reuf ils vendent père, mère pour le blé
Fais pas l'ancien si tu connais rien tu parle trop t'as la morve
Tu peux venir d'où tu veux mec tous les chemins mènent a la morgue
Tu peux détailler des barrettes et vendre une merde ou deux
Ou porter la cravate pour eux tu restes un mec douteux
Les mêmes qui attendent que j'me plante pour sortir le caviar
Et tu t'étonnes en provocant la faute quand j'ai l'cafard ?
Va t'faire mettre j'ai camisolé ma télécommande
Désormais j'mets l'troisième doigts dans l'urne quand on m'demande
J'mets l'troisième doigts dans l'urne quand on m'demande
Désormais j'mets l'troisième doigts dans l'urne quand on m'demande
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