MOBY DICK
Le port de Nantucket à la douceur d’un lit,
Et l’habitude y fait disparaître l’ennui,
Et le brouillard étouffe le contour et le bruit
Du port et de la ville,
Et de la vie.
Dans la mer des Sargasses, les algues engourdies
Et les vertes épaves tournent à l’infini.
Il y a tant de sirènes, il n’y a pas de merci
Dans la mer et l’amour,
Et dans la vie.
Dans l’océan de ma vie, je te suis,
Je te poursuis sans répit,
Moby Dick
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)