DILUVIO UNIVERSALE
MezzoSangue feat Ultimo
paroles MezzoSangue DILUVIO UNIVERSALE

MezzoSangue - DILUVIO UNIVERSALE Lyrics & Traduction

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[Mezzosangue]
Vedi
Ci sono cose che non sai di me
Io ho avuto il cuore sotto i piedi
Ma l'anima di un samurai, perché

Serve coraggio per rialzarsi ma più per morire
E a volte è più saggio fermarti se vuoi ripartire
Tu mi dicevi pensi troppo perché hai il cuore asciutto
Ma vedi è buffo, il fatto che se penso troppo è perché sento tutto

E il mondo si fa gigantesco dentro questa vita
Sai, anche una goccia è un'esplosione per una formica
Così una pioggia è un diluvio universale per me

Che sto a disegnare un mondo nuovo con fogli e matita
Empatizzare questo vuoto in paura infinita
Ho solo questa musica da amica
Una spiaggia infinita che fa da clessidra

Per cantare

[Ultimo]
Non è più quanto forte spingi che più in alto arrivi
Come non è più quanto preghi che più a lungo vivi
Sono un campione a perdere le ore
Con l'anima in ferie e il cuore che non vede

Chi crede sia una giostra forse c'ha preso in pieno
Se pensi che l'infinito tra i numeri è nello zero
Vorrei nascere in un tizio che odia farsi domande
Che accetta quello che c'ha senza perdere mai le staffe

Forse farebbe bene distrarsi per un momento
Il fatto è che dico "io" e rispondono in cento dentro

Son troppi versi anche complessi che trito e ritrito
Quei dubbi inversi tra gli stessi a cui miro e ritiro
Prendo distanze da chi predica e mastica vita
È plastica viva, senza una maschera perdi la vita

Il vuoto in corpo si riassorbe con penna sui fogli
Descrivo i giorni vuoti al parco e coloro i ricordi
Tanto più metto sentimento, più tu poi ne togli
Tanto più resto a te distante, più tu poi ti spogli




Traduction DILUVIO UNIVERSALE - MezzoSangue

[Mezzosangue]
Tu vois,
Il y a des choses que tu ne sais pas sur moi
J'ai eu le cœur sous les pieds
Mais l'âme d'un samouraï, parce que

Il faut du courage pour se relever mais encore plus pour mourir
Et parfois, il est plus sage de s'arrêter si tu veux repartir
Tu me disais que je pense trop parce que mon cœur est sec
Mais tu vois, c'est drôle, le fait que si je pense trop, c'est parce que je ressens tout

Et le monde devient gigantesque dans cette vie
Tu sais, même une goutte est une explosion pour une fourmi
Ainsi une pluie est un déluge universel pour moi

Qui suis en train de dessiner un nouveau monde avec des feuilles et un crayon
Empathiser avec ce vide dans une peur infinie
Je n'ai que cette musique comme amie
Une plage infinie qui sert de sablier

Pour chanter

[Dernier]
Ce n'est plus la force avec laquelle tu pousses qui te fait monter plus haut
Comme ce n'est plus combien tu pries qui te fait vivre plus longtemps
Je suis un champion à perdre des heures
Avec l'âme en vacances et le cœur qui ne voit pas

Celui qui croit que c'est un manège a peut-être tout compris
Si tu penses que l'infini parmi les nombres est dans le zéro
J'aimerais naître en un homme qui déteste se poser des questions
Qui accepte ce qu'il a sans jamais perdre son sang-froid

Peut-être serait-il bon de se distraire un moment
Le fait est que je dis "moi" et cent répondent à l'intérieur

Il y a trop de vers, même complexes, que je broie et rebroie
Ces doutes inversés entre les mêmes à qui je vise et retire
Je prends mes distances avec ceux qui prêchent et mâchent la vie
C'est de la vie en plastique, sans un masque tu perds la vie

Le vide dans le corps est réabsorbé avec un stylo sur les feuilles
Je décris les jours vides au parc et je colore les souvenirs
Plus je mets de sentiment, plus tu en enlèves
Plus je reste loin de toi, plus tu te déshabilles.


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