Mes forces m’affaiblissent et je glisse fébrile et pale
Vers un puits dedans moi ou tout ma peine s’empale.
Son torse était la plaine ou mes cheveux courraient
Ou valse laissaient des traces qui inspiraient l’éternité.
Avant lui, avant l’heure, avant de quitter la raison,
J’avais dans ma gorge des jours un peu amers au fond.
Faites place à mes pleurs, implacable typhon.
Et meurent ces amours folles et que s’éteignent les saisons.
Dites moi, dites moi, vite quoi vivre, quoi aimer.
Les hommes lui ressemblent trop, les femmes pas assez.
Que frappe ma colère à mon front désarmé.
Tu me laisses crever entre le lierre et les rosiers.
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