La traduction de The Bones Of You de Elbow est disponible en bas de page juste après les paroles originales
So I'm there,
Charging around with a juggernaut brow
Overdraft speeches and deadlines to make
Cramming commitments like cats in a sack
Telephone burn and a purposeful gait
When out of a doorway the tentacles stretch
Of a song that I know and the world moves in slow-mo
Straight to my head like the first cigarette of the day
And it's you and it's May
And we're sleeping through the day
And I'm five years ago
And three thousand miles away
Do I have time? A man of my calibre?
Stood in the street like a sleepwalking teenager?
No. And I dealt with this years ago
I took a hammer to every memento
But image on image like beads on a rosary
Pull through my head as the music takes hold
And the sickener hits, I could work till I break
But I love the bones of you, that I will never escape
And it's you, and it's May
And we're sleeping through the day
And I'm five years ago
And three thousand miles away
And I can't move my arm
For the fear that you will wake
And I'm five years ago
And three thousand miles away
And I'm five years ago
And three thousand miles away
And I'm five years ago
And three thousand miles away
And it's you and its May
And we're sleeping through the day
And I'm five years ago
And three thousand miles away
Traduction The Bones Of You - Elbow
Donc je suis là,
M'affairant, les sourcils froncés.
Un découvert, des discours et des dates limites à respecter.
Entassant les engagements comme des chats dans un sac.
Une brulure de téléphone et une démarche résolue.
Quand, à l’embrasure d’une porte, les tentacules tendus
D’une chanson que je connais.
Et le monde avance au ralenti droit vers ma tête
Comme la première cigarette de la journée.
Et c’est toi, et on est en Mai
Et nous dormons pendant la journée.
Et j’ai cinq ans de moins
Et je suis à trois mille miles de là.
Ai-je du temps ?
Un homme de mon calibre
A étudié dans la rue comme un adolescent somnambule.
Non.
Et j’ai connu ça il y a des années,
J’ai pris un marteau pour tous les souvenirs.
Mais, images par images, comme des perles de chapelet,
Défilent dans ma tête quand la musique tient bon
Et la maladie frappe ; je peux travailler jusqu’à ce que je casse
Mais j’aime tes os
Ca, je n’y échapperai jamais
Et c’est toi, et on est en Mai
Et nous dormons pendant la journée.
Et j’ai cinq ans de moins
Et je suis à trois mille miles de là.
Et je ne peux pas bouger mon bras,
De peur que tu ne te réveilles
Et j’ai cinq ans de moins
Et j’ai cinq ans de moins
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