T’es une catastrophe naturelle
Et je te crains comme la crue des eaux
En ce maudit printemps
Et même si j’ignore ton appel
Je sais que tôt ou tard l’usure et la détresse
Ou même le vent…
Tu ne frappes plus à ma porte
Mais tu restes sur le trottoir
Et tu me gardes à vue
Tu n’es pas bienvenu
Mais c’est le déluge dehors
Et tu es mal vêtu
Tant pis si tu pleures ou tu gèles
Qui pourra dire d’entre nous deux
C’est qui le bon ou le méchant ?
Tu causeras sûrement des ravages
Mais tu n’viendras jamais à bout
De mon orgueil de ciment
Tu me manques tellement
Ça me fait plaisir de voir
Que j’te manque tout autant
Va voir là-bas si j’y suis
Moi j’vais continuer de t’attendre
Bien au chaud dans mon lit
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