Tout le ciel d'été me renvoie
Ton image, dont la vapeur
Monte incessamment de mon coeur.
Ah ! que tu sois aussi la proie
De cette mortelle langueur !
- Se pourrait-il vraiment qu'on voie
Faiblir celui qui nous fait peur !
N’es-tu pas fatigué d’entendre,
Homme prudent, sage, cruel,
Monter de ce cœur, ivre et tendre,
Comme un râle perpétuel?
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)