Passer les hivers à broyer du noir
Et d’autres couleurs, ça fallait me voir
Écumer les nuits, les jours, la tournée des enfers
Comme ivre, sourde, ça fallait s’y faire
Tellement de temps dans le néant, je n’savais rien avant
Il n’y a rien que je sache mieux que le goût, que le goût de ta peau
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que de t’aimer de trop
Il n’y a rien que je pleure mieux que l’absence, que l’absence de tes mots
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que t’aimer, que t’aimer de trop
Au coin d’autres lèvres et de cœurs trop froids
J’ai choppé la crève, oh combien de fois
J’ai souvent senti l’emprise d’amour délétère
Comme un vertige tombé en arrière
Tellement de temps dans le néant, je n’savais rien avant
Il n’y a rien que je sache mieux que le goût, que le goût de ta peau
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que de t’aimer de trop
Il n’y a rien que je pleure mieux que l’absence, que l’absence de tes mots
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que t’aimer, que t’aimer de trop
Il n’y a rien que je sache mieux que le goût, que le goût de ta peau
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que de t’aimer de trop
Il n’y a rien que je pleure mieux que l’absence, que l’absence de tes mots
Il n’y a rien que je fasse mieux que t’aimer, que t’aimer, que t’aimer de trop
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