El Día De Los Muertos
Alfredo Olivas
paroles Alfredo Olivas El Día De Los Muertos

Alfredo Olivas - El Día De Los Muertos Lyrics & Traduction

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Se llegó el momento,
Ya ni escogí la madera,
Hace mucho tiempo,
Qué estaba en lista de espera.

Nunca me detuve,
A organizar mi sepelio,
Cuántos invitados, cuales evangelios.

Y tan de repente, se apagó la luz,
Nuevo domicilio, entre la tumba y la cruz,
Al clan de los muertos,
Ahora soy nuevo egresado,
Hoy oficialmente, comenzará mi legado
A llevarse a cabo.

Quizá fuí un cualquiera,
Pero nunca del montón,
Y el que ahora me muera,
No me quitará ese Don,
Yo tuve la culpa,
Porque sabía que era mortal,
Pido una disculpa,
Por no atacar ese mal,
Si ya estaba enterado.

Que era alérgico a la muerte,
Que hago en este sitio,
Dónde ahora es muy nerte.

Bajen la caja,
Ya no les daré más guerra,
Y sin piedad, échenme un puño de tierra,
Y la cierran.

Por hoy a mi, a mi se me acaba de acabar el mundo,
este mundo de los egos que como saben,
El rey, siempre es el tuerto,
Yo ya estaba condenado,
Y voy a seguir esperando sus regalos...
El Día De Los Muertos.




Traduction El Día De Los Muertos - Alfredo Olivas

Le moment est arrivé,
Je n’ai même pas choisi le bois,
Ça faisait longtemps,
Que j’étais sur la liste d’attente

Je n’ai jamais arrêté,
D’organiser mes funérailles,
Tant d’invités, tels des évangiles.

Et soudain, la lumière s’éteignit,
Nouveau domicile, entre la tombe et la croix
Du clan des morts,
Je suis fraîchement diplômé,
Officiellement aujourd’hui, mon héritage commencera
A se réaliser.

Peut-être que j'étais un quidam,
Mais qui sortait du lot,
Et celui qui me meurt maintenant,
Ne m’enlèvera pas ce Don,
C’est de ma faute,
Parce que je savais que j’étais mortel,
Je m'excuse,
De n’avoir pas déjà attaqué ce mal,
Bien que j’aie été au courant.

Car j’étais allergique à la mort,
Qu’est ce que je fais ici,
Où maintenant tout est inerte

Descendez le cercueil,
Je ne les embêterai plus,
Et sans pitié, jetez moi une poignée de terre
Et fermez le.

Pour moi aujourd'hui, le monde vient de se terminer,
ce monde d'ego qui, comme vous le savez,
Le roi est toujours borgne,
J'étais déjà condamné,
Et je vais continuer à attendre ses cadeaux ...
Le jour des morts.


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