Demain je m’en irai
Sous l’enseigne du banc, où il fait bon espoir
De déclarer forfait,
D’avancer sans retrait à l’ombre des couloirs.
Quand tintera au clair une règle, un bocal,
Ânonons tous en cœur comme un grand récital
L’âpre combinaison des gorges enrouées,
Car je vois, mes amis, l’omerta m’écrouer.
Chantons, chantons chers amis !
Déversons nos poumons coits
À la tête de l’égérie
Comme un hideux éjaculat.