Le cygne, lorsqu’il sent venir l’heure suprême,
En chants mélodieux
À la blonde lumiêre, au beau fleuve qu’il aime,
Soupire ses adieux !
Ainsi cette pauvre âme, à la rive lointaine,
Lasse de trop souffrir,
S’exhalait en doux chants et déplorait sa peine
Au moment de mourir !
1839