Pétales bleues de la rose de l’aube
acceptez les agissements de ma plume.
Si je cours si tôt, ce n’est pas pour vous remuer.
Apollon me tire de vos cotés, mais ne me donne guère de leçons.
Quand j’aurai fini, nous irons ensemble
sur les collines, au-dessus de la mer
où le vent d’automne caressera nos visages baignés de lumière.
C’est là-bas, pièce par pièce
que nous regarderons ce puzzle.
Et quand les bateaux quitteront le port,
nous partirons, nous aussi,
par le chemin de la falaise que nous connaissons si bien.
Mais maintenant, ma fleur, patience, dormez…